3 juin 2008
Richard Millet
J'en reviens à la nudité, à l'insupportable et fasci nante nudité. Il m'est arrivé d'accompagner au piano une femme aimée dans des airs de Haendel, de Verdi, de Saint-Saëns, des mélodies de Duparc, des lieder de Strauss, et de pleurer de ce que sa voix...