7 avril 2009
Michel Baglin
J’apprenais un temps J'apprenais un temps doué d'épaisseur. Après midi le vieil homme s'allongeait sous le pru nier, dans un carré d'herbe que son ardeur de jardi nier avait épargné. Au réveil, la longueur de sa sieste se mesurait sur son dos, à la profondeur...