18 novembre 2007

Michel Schneider

Certaines de ses interprétations sont posées au bord du monde dans une lumière qui semble émaner de l'intérieur de l'oeuvre. Cette lumière sans matière, sans épaisseur, sans couleur, cette lumière qui ne nous attend pas, lumière d'avant qu'on la regarde. (Il fau­drait pour en rendre compte reprendre aux Victorins l'opposition de la lumen, mondaine et douloureuse, et de la lux, pauvre et extatique.) Gould avance alors dans chaque page comme quelqu'un qui ne sait pas, qui questionne. Pourquoi cette note ? Où va cette... [Lire la suite]
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