
Il y a toutefois un moment privilégié où retrouver une part de la liberté que nous avons tant prisée à quatre heures, autrefois, hier. C'est celui de l'apéritif, en tout cas de l'apéritif dînatoire.
L'autre, à base de chips, de cacahuètes, d'olives directement sorties de leur boîte, est à fuir.
On y boit kir et pastis.
Il n y a rien de plus terrifiant que le kir, même nommé royal. Car on ne se sert pour le préparer que de vin blanc médiocre et de mauvais champagne. Si vin et champagne étaient de bonne qualité...
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