
Mademoiselle, Je me suis éveillé ce matin en pensant à vous. Vous portiez cette longue robe noire - écrin voluptueux peu fait pour dissimuler l'invraisemblable et néanmoins très judicieux équilibre de courbes et de volumes qui constitue votre apparence charnelle - avec laquelle vous m'aviez accueilli un certain soir où, contre toute attente, vous organisiez une fête à la célébration de la fuite du temps. Bref, ce réveil aurait pu très bien se passer si vous aviez été vraiment là, dans cette longue robe, et si vous m'aviez dit :«...
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