
Si on n’est pas prêt à courir ce risque
de voir ne plus tenir et de sentir passer (mourir) sous le vent du souffle
expressif, non pas le monde mais les représentations que nous nous en faisons,
qui nous lient à lui et nous lient entre nous, si on ne veut pas tenter cette
chance de respirer un peu, parfois (dans l’instant exact du poème) dans un
espace un peu plus libre, un peu moins a priori dessiné et colorié - alors
mieux vaut ne pas faire poète. (C.P.)
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