Midi dans la nue, pareil
à un parchemin, armé d'un seul espoir, les souvenirs transformés.
Un seul espoir plus vaste
que deux bouches l'une contre l'autre; vous devinez ma pensée, il faut trouver
son chemin et les chemins ne mènent nulle part !
Vous regardez la vie avec
un pinceau et il vous faudrait un masque à gaz asphyxiants, mais voilà il n'y a
que l'argent qui ait du génie ; il faut choisir, vivre avec le génie ou avec
le temps opportun.
Je suis un voyageur
immobile, les pays passent devant moi avec leurs énigmes mobiles.
In « Je fuis le
bonheur avant qu’il se sauve »
Photo Océania